SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #INFO importante usine

La direction est tellement sûre d’elle sur le travail accompli pour l’exercice 2011, qu’elle annonce comme par hasard à une semaine des NAO, son projet qui doit logiquement se finaliser dans les semaines à venir.Le message de la direction est très clair, faut surtout pas faire de bruit, ceci mettrait tout en cause.On n’est pas dupe, la direction se rend bien compte qu’elle est très loin d’avoir répondue aux attentes des salariés sur les conditions de travail, la reconnaissance et la motivation.

Son effet d’annonce sur le PROJET est surtout fait pour calmer les ardeurs !!!

La direction se serait-elle permis de faire une annonce d’une telle ampleur sans que ce projet n’aboutisse réellement ou si ce n’est déjà fait, on a du mal à y croire !

 Imaginez qu’après une telle présentation le projet ne se concrétise pas, stratégiquement pour la direction, se serait un gros coup dur ; on nous le vend comme un projet alors que les dés sont déjà jetés !

 On comprendra peut être mieux au vu des résultats des NAO.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Unilever Europe

Les travailleurs et travailleuses de Unilever font grève pendant dix jours, du 18 au 28 janvier, sur les sites de production de denrées alimentaires et de produits nettoyage chez Unilever au Royaume-Uni, pour protester contre les réductions prévues dans les retraites. Une caisse syndicale de grève a été ouverte.

ROYAUME-UNI: Des arrêts de travail ont interrompu, le 18 janvier, la production de denrées alimentaires et de produits de nettoyage de premier ordre, notamment la moutarde Colman, Marmite et Persil.

Les modifications apportées au régime de retraite chez Unilever vont réduire de 20 à 40 pour cent l'épargne des travailleurs et travailleuses. Une travailleuse estime qu'elle perdrait 7.000 livres sterling par an quand elle prendra sa retraite dans le cas où Unilever décidait de mettre en œuvre son projet d'abolition du modèle de retraite basé sur le salairefinal. Les conditions de départ à la retraite des cadres dirigeants ne seront pas affectées.

La responsable nationale du syndicat Unite, Jennie Formby, a déclaré: "Le soutien ferme obtenu pour cette grève montre clairement à Unilever que nos membres ne sont pas prêts à être traités comme des chiens." "Nous n'en sommes qu'à notre deuxième jour de grève, et les travailleurs et travailleuses qui bénéficient d'un soutien consistant du public et qui reçoivent chaque jour des messages de solidarité, restent fermement sur leur position et refuseront de se laisser intimider pour accepter ces changements".

"Nous sommes prêts et disposés à rencontrer Unilever pour envisager des solutions au conflit".

Unite a présenté le 17 janvierle film "Unilever - pas aussi propre qu'on le prétend" sur la manière dont Unilever traite son personnel. Les téléspectateurs/trices sont invités à envoyer un message simple au directeur général de Unilever, Paul Polman: "Il est temps pour vous de parler".

Des rassemblements de soutien sont prévus à la demande de Unite du 18 au 28 janvier sur les sites de production de Unilever au Royaume-Uni à Warrington, Purfleet, Manchester, Merseyside, Leeds, Gloucester, Gwent et Staffordshire.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Intéressement- Participation-PEE

 

 

Ce matin devait se tenir une commission intéressement, les délégations présentes étaient composées de 2 personnes, la direction s’est opposée sur la composition (selon l’accord d’intéressement) et a décidée d’ajourner cette réunion.

Alors que l’on nous reproche d’être deux, la direction, elle-même était composée de deux membres.

 

Comme à l’accoutumée, les commissions se tiennent à deux personnes par OS.

  

CHERCHEZ L’ERREUR !!!

 

Pour notre direction « dialogue social » rime avec « régression social ».

 

 

                                                                                    

 

 

 

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #NAO 2012

Après une accalmie en 2010, le panier moyen des consommateurs a grimpé de 4,4 % en 2011, selon l'observatoire annuel des prix de la fédération d'associations Familles rurales, publié, mardi 10 janvier, par La Croix. Au mois de novembre, le panier moyen élaboré par l'association de défense des consommateurs, qui comprend 35 produits de consommation courante (eaux, biscuits, jus de fruits, desserts, confiture, produits laitiers…) a atteint un "niveau historique" de 137,60 euros, a souligné celle-ci. En 2010, les prix étaient restés quasiment stables à +0,19 %.

Selon Familles rurales, les résultats 2011 sont "particulièrement préoccupants". "Les relevés de prix de l'année 2011 sont les plus hauts depuis la création de l'observatoire des prix en 2006", note l'association. En revanche, si l'on compare la moyenne des prix en 2010 et en 2011, la progression n'est plus que de 1,5 %, une hausse inférieure donc aux 4,4 % pour la seule année 2011, ajoute Familles rurales.1770885_act2_640x280-copie-2.JPG

Certains produits ont connu une flambée entre 2010 et 2011 comme les jus de fruits (+19 % pour les grandes marques nationales, +28 % pour les marques distributeurs et même 32 % pour les catégories premiers prix). Globalement en 2011, un panier composé de grandes marques nationales a coûté en moyenne 177,06 euros contre 130,38 euros pour des marques de distributeurs et 98,18 euros pour des premiers prix.

Dans son panel, l'association compare les prix par type de magasins (hyper, supermarchés, magasins de proximité et hard-discount) mais aussi par type de produits (marques nationales, marques de distributeurs, premiers prix). Les paniers de grandes marques nationales ont connu une hausse de 2,65 % en 2011, tandis que celui des marques de distributeurs a grimpé de 4,14 % et celui des premiers prix de 8,12 %.

En 2011, il valait mieux faire ses courses dans les hypermarchés qui pratiquaient les meilleurs prix pour les marques de distributeurs et les produits premiers prix, affirme Familles rurales, qui a par ailleurs souligné les "mauvaises performances" des magasins hard-discount. Enquête réalisée par un réseau de 65 "veilleurs consommation" issus de 34 départements dans 72 magasins. Les relevés sont faits tous les deux mois.

 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

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Un clic sur le logo pour vous rendre sur leur site. Pour écouter le titre c'est ICI

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #FRALIB

MARSEILLE - Environ 70 salariés de l'usine Fralib (groupe Unilever) de Gémenos (Bouches-du-Rhône) se sont rassemblés sur le site mardi matin pour redemander la reprise de l'activité, un mois et demi après l'annulation d'un plan social, a-t-on appris auprès de la CGT.

"Le 8 décembre, la direction nous avait envoyé une note de service précisant que le site serait fermé pour congés entre le 23 décembre et le 2 janvier. On l'a prise au mot et, symboliquement, on a appelé les salariés à se rassembler à partir de 07H00", a déclaré à l'AFP Olivier Leberquier, l'un des délégués syndicaux CGT.

"Notre huissier a constaté l'absence de la direction qui continue à faire comme si le plan social n'avait pas été invalidé", a-t-il ajouté.

Le 17 novembre, la cour d'appel d'Aix-en-Provence avait annulé le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) "compte tenu de la grave insuffisance des mesures proposées au regard des moyens du groupe Unilever".

Selon le syndicaliste, plus d'une centaine de salariés, sur les 182 touchés par le projet de fermeture (dont 155 déjà licenciés), annoncé à l'automne 2010, réclament le redémarrage de l'activité.

Un chiffre confirmé par un porte-parole de la direction: "Aujourd'hui, l'effectif de l'entreprise est de 106 personnes."

Le personnel de l'usine -la seule à produire en France les thés Lipton et les infusions Eléphant- soutient un projet alternatif de reprise par un collectif de salariés, passant notamment par l'abandon par Unilever de la marque Eléphant, exclusivement vendue en France et majoritairement fabriquée à Gémenos avant l'annonce de la restructuration.

Ce scénario a été rejeté à plusieurs reprises par la direction du groupe, qui estime que "l'arrêt (de l'usine) est inéluctable à terme" et travaille à l'élaboration d'un nouveau PSE, tout en réclamant la fin de l'occupation du site dont "l'audit est en cours".

Fralib s'inscrit pleinement dans le slogan "produire en France", très prisé par les prétendants à l'Elysée, a argué le représentant de la CGT: "Si le gouvernement laisse faire Unilever, nous aurons une marque française produite à l'étranger."

 

 

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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