SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Le salaire est constitué :
  • d’une partie directement visible par le salarié. C’est le salaire net viré sur son compte en banque ;
  • et d’une part invisible car socialisée, constituée des cotisations sociales (part salarié et part employeur), qui permet de financer la protection sociale.
Le salaire brut (socialisé) correspond à :
salaire de base + primes + heures supplémentaires
Le salaire net (direct) s’obtient :
Salaire brut – cotisations sociales prises en charge par le salarié
Notre salaire se décompose entre le salaire direct (Net) couvrant nos besoins individuels et le salaire socialisé (brut) couvrant les besoins collectifs : le droit à la santé pour tous, le droit à la maternité, à l’éducation des jeunes enfants, au logement, le droit à une retraite et des pensions de reversion pour vivre dignement, le droit à l’emploi, le droit à une action sanitaire et sociale, le droit à une une prise en charge face à la perte d’autonomie.
Les cotisations, qu’elles soient patronales ou salariales, sont donc un prélèvement issu des richesses que nous créons dans nos entreprises et administrations et doivent rester le principe de financement de la Sécurité Sociale.
Baisser les cotisations sociales, c’est baisser notre salaire !

Supprimer les cotisations sociales, c’est baisser notre salaire !

Supprimer les cotisations sociales, c’est amoindrir notre couverture sociale !(assurance maladie, retraite, chômage etc…)

PAR FSC

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La Société Générale supprime 900 emplois supplémentaires

Lors de la présentation aux investisseurs de son plan stratégique pour 2020, la Société Générale a annoncé la suppression de 900 postes, qui s’ajoutent aux 2 550 déjà programmés au début de l’année 2016. D’ici 2020, ce sont donc 3 450 emplois qui auront disparu.

Dans le cadre de la restructuration du secteur bancaire en cours, avec le développement des opérations en ligne et l’automatisation des processus internes, la Société Générale a décidé la fermeture de plus de 300 agences dans les trois ans à venir. Ainsi, au terme du plan, la banque comptera 1700 agences dans l’Hexagone, au lieu de 2 000 à l’heure actuelle, un réseau équivalent à celui de la LCL.
A l’image des autres banques, BNP-Paribas, Crédit agricole, la Société Générale cherche à augmenter ses bénéfices, en réduisant ses effectifs et ses agences. Le développement des banques en ligne comme N26, Hello bank ou Boursorama, ont accéléré la course aux profits dans le secteur.

Les « néo-banques » en ligne

Les dernières années ont vu l’explosion de l’offre bancaire en ligne, avec des nouveaux établissements financiers qui dépensent des dizaines de millions d’euros en marketing et publicité pour conquérir de nouveaux clients. Selon le patron d’une de ces banques en ligne, 30 000 nouveaux clients y ouvrent chaque mois un compte. Et l’arrivée récente d’Orange Bank, filiale de l’opérateur téléphonique, devrait encore « dynamiser » le marché.
Quand on voit que des banques en ligne comme Boursorama par exemple – détenue par la Société Générale -, peuvent se permettre de proposer presque tous les services gratuits, carte bleue, tenue de compte, chéquier, etc., on ne peut que s’interroger sur le montant faramineux de bénéfices qu’elles font avec notre argent et le travail de ses salariés.

Sélection de clients fortunés

Frédéric Oudéa, directeur général de la Société Générale, a affirmé que son établissement compte bien « tirer parti de l’expertise en banque privée au service des clients patrimoniaux et fortunés », et en retirer « plus de 200 millions d’euros de revenus supplémentaires d’ici à 2020 ». En clair, les clients premium seront ciblés, ceux qui ont un ou plusieurs comptes bien garnis et n’hésitent pas à acheter assurances-vie et autre produits financiers sur lesquels les marges des banques sont très confortables, avec des tarifs attractifs. Pour les autres, les travailleurs de rang, les précaires, les smicards, les chômeurs, d’alimenter le fonds qui permet aux banques de soulager les riches.

Une pluie de dividendes pour les actionnaires et… de suppressions de postes pour les salariés !

La banque avait jusqu’ici réduit ses effectifs en jouant sur les départs à la retraite non-remplacés, mais dorénavant elle prévoit de recourir à des départs dits « volontaires ».
Avec ces suppressions d’emplois, la Société Générale prévoit une réduction des coûts chiffrée à 1,1 milliard d’euros à l’horizon 2020. Elle mise sur 3,6 milliards d’euros de revenus supplémentaires d’ici à 2020, par rapport aux 25,3 milliards réalisés en 2016. Cela démontre encore une fois que de l’argent, il y en a… mais surtout pas pour les travailleurs.

Crédits photo : AFP

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Suppression de postes à France Télévisions. Envoyé spécial et Complément d’enquête dans le viseur

Avec une baisse de budget pour France Télévisions de 50 millions d’euros, annoncée par le gouvernement fin septembre, la direction du groupe public songe sérieusement à sa restructuration. Différentes options sont discutées, dont certaines affectant sévèrement les émissions Envoyé Spécial et Complément d’Enquête, ce qui a fait réagir les journalistes. À l’heure des négociations, la tension monte.

Baisse de budget chez France Télévisions : une crise à rebondissements

Face aux coupes budgétaires, la direction de France Télévisions avait annoncé la suppression de 66 équivalent temps pleins (ETP) sur un total de 1300 journalistes, chiffre revu à la baisse lundi soir : ce serait toutefois plus de trente postes supprimés d’ici septembre 2018. Après la réunion de lundi avec la direction, les journalistes ont annoncé que la piste envisagée affecterait directement les équipes d’Envoyé spécial, qui passerait de 14 à 4 reporters et celle de Complément d’enquête qui verrait ses effectifs réduits à 2 journalistes, au lieu de 12. La semaine dernière, une des options était la réduction du nombre de programmes, l’autre « solution » qui s’était dessinée lundi étant la réduction de la durée des deux émissions.

Le jeudi 23, le principe d’un vote d’une motion de défiance contre Delphine Ernotte avait été adopté à une très grande majorité lors d’une assemblée générale de la Société des Journalistes (SDJ ) regroupant entre 150 et 200 journalistes des magazines et JT du groupe, ce qui a permis de convoquer une réunion entre la présidente du groupe, alors réfractaire aux discussions, et dix membres de la SDJ de France 2. Les différents journalistes ont par ailleurs largement alerté sur le processus en cours à France Télévisions.

Jouant la carte de la contention, Yannick Letranchant, directeur exécutif en charge de l’information de France Télévisions avait déclaré dans le courant de la semaine dernière qu’aucune décision n’était prise. « On ne sabre pas les magazines, défendait-il. Ce n’est pas parce qu’il y a un petit peu moins, qu’il n’y a plus d’investigation. Cela ne se mesure pas au kilo mais à la qualité ».

S’il semble après la réunion d’aujourd’hui être acté que les deux émissions ne subiraient « qu’une » suppression de trois postes, ce ciblage de la direction sur les journalistes d’investigation interroge.

La disparition du journalisme d’investigation, un enjeu politique

Une lettre adressée à Delphine Ernotte avait déjà été envoyée mercredi 22, de la part des reporters de Complément d’Enquête et d’Envoyé spécial, alertés par le manque de moyens matériels qui découleraient de cette « restructuration », et rappelant l’intérêt de ce service public : « Une rédaction des magazines de service public, c’est la possibilité de pouvoir enquêter sur Bygmalion sans être censuré, c’est la possibilité d’envoyer une équipe en Erythrée sans être accusé de sous-traiter le risque, c’est la possibilité de dévoiler les dessous de la communication d’Emmanuel Macron sans payer les mécontentements du Château […], c’est la possibilité d’être la seule rédaction suffisamment indépendante pour pouvoir enquêter sur Vincent Bolloré et de remporter ainsi le prestigieux prix Albert Londres. »

Bien que ces deux émissions – Envoyé spécial et Complément d’enquête – ne soient pas indépendantes de l’idéologie dominante, elles sont néanmoins un outil pour révéler au grand jour des affaires de corruption, de société, etc. Bien que les sujets traités soient assez hétérogènes et ne revêtent pas tous la même qualité d’information, il est révélateur que ce soit ces deux émissions d’investigation – et particulièrement Envoyé spécial ayant sorti quelques grandes affaires, et revêtant un aspect subversif – que la coupe budgétaire touche le plus, proportionnellement aux autres services.

Ce que cette crise de France Télévisions a aussi mis en lumière, c’est le recours de plus en plus régulier à une externalisation des enquêtes, dû à un désengagement progressif de l’État dans ce service public. Moins d’investigation directement effectuée par des journalistes du service public qui ont une plus large (même si relative) liberté d’enquête ; plus de recours à la « sous-traitance » de l’information effectué par des entreprises cherchant avant-tout à faire du chiffre. Il s’agit donc de mettre en concurrence l’information.

Crédits photo : (JPDN / SIPA)

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Toyota Onnaing. L’acharnement continue : Éric Pecqueur de la CGT risque le licenciement

Acharnement. La direction de Toyota s'en prend de nouveau à Éric Pecqueur, secrétaire général de la Cgt Toyota. Nous relayons une nouvelle ci-dessous un post facebook de la CGT Toyota Onnaing.

La CGT Toyota Onnaing

Après une plainte pour diffamation et une convocation à la gendarmerie, la direction de Toyota s’en prend de nouveau à Éric Pecqueur, secrétaire général de la Cgt Toyota.

Cette fois-ci, la direction de l’usine le convoque le 6 décembre pour une sanction pouvant aller jusqu’au licenciement.

Que va-t-elle encore inventer pour justifier son acharnement ?
La réalité, c’est que les conditions de travail n’ont jamais été aussi mauvaises. Le ras le bol est général chez Toyota.

Pour essayer de retarder le moment où la corde va casser, la direction de Toyota multiplie les menaces, les pressions et les sanctions contre tous les travailleurs de l’usine, en intérim ou en cdi.

Mais elle ne fait que préparer chez les salariés un sérieux retour de bâton qu’elle n’aura pas volé !

Convoqué le 6 décembre

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Faire la manche : un nouveau travail pour le pole emploi allemand

« Collecte de dons privés » voilà le beau nom qu’a décidé de donner le Jobcenter, le pôle emploi allemand, à la mendicité. Ainsi, un couple de deux chômeurs s’est vu diminuer ses allocations de 300 euros en raison de ses revenus gagnés en faisant la manche.

En Allemagne, pays modèle selon nos gouvernants, la pauvreté et le chômage sont pourtant bien une réalité. Une réalité qui a frappé Michael et Christa Hansen, un couple d’une cinquantaine d’années au chômage. Ensemble, depuis les réformes Hartz IV, ils ne touchaient que 760 euros par mois, en plus du loyer et du chauffage pris en charge par l’Etat. Alors parfois, Michael Hansen, enfant de l’assistance publique, et sans emploi depuis 2005 avait la prétention de vouloir « se permettre quelque chose de nouveau chez lui » et avec sa chienne Molly, il s’en allait braver le froid et espérer que les passants soient généreux.

Mais Michael ne savait pas qu’il s’exposait alors à l’inhumanité rapide du Jobcenter. Une employée qui l’a reconnu l’a dénoncé. Ainsi pour eux, M. Hansen se tient régulièrement dans la rue pour procéder à « une collecte de dons privée ». L’administration n’a alors pas uniquement valorisé son temps à faire la manche en temps de travail, elle a aussi dévalorisé ses allocations de 300 euros…
Le Jobcenter a motivé cette décision par le calcul suivant : à 10 euros en moyenne par journée de manche, trente jours d’activité par mois rapportent environ cette somme.

460 euros. Il fallait continuer de faire la manche non plus pour mettre du beurre, mais pour avoir des épinards…Et ainsi ils ont rencontré une avocate qui s’est insurgée et a fait appel de la décision. Un appel qui ne pouvait que servir à améliorer un peu la somme perçue par le couple car la défense est restée dans ce schéma comptable. Ainsi celle-ci a pu gagner de revoir les sommes à la baisse : faire la manche ou plutôt une collecte de dons privés ne rapporte en moyenne que 6 euros par jour, et seulement vingt jours par mois. Ce qui fait 120 euros, moins 30 euros au titre de l’exonération pour les dons, soit 90 euros.
Mais le jobcenter, ne compte pas se contenter de moyenne et a envoyé une lettre à Michael afin qu’il tienne un journal de son activité, avec le décompte exact de ses revenus ainsi qu’une projection pour les douze prochains mois. Il a également été invité à se rendre au bureau du commerce afin de déterminer si son activité relevait du « travail indépendant ».

Voilà une nouvelle question pour les services de l’État qui, en Allemagne comme en France s’attaquent aux pauvres pour mieux protéger les riches.

Les services de l’Etat vont toujours plus loin dans l’attaque des plus précarisés, tout en armant tout un appareil législatif et répressif pour protéger les plus riches. Une histoire de plus pour le démontrer.

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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dessin d'illustration de Ranson

dessin d'illustration de Ranson

Un article de Roger Colombier sur son blog :

Il y a des choses dites par les médias de la pensée unique et que d'aucuns prennent pour vérités vraies : l'existence des classes moyennes en est une. On les sort plus facilement à la tombée des impôts à l'automne, avec des trémolos dans la voix parce qu'elles seraient sacrifiées. Et chacun de regarder sa fiche de paie ou sa pension de retraité pour voir dans quelle classe on se trouve.

 

Mais qui sont ces classes moyennes, puisque avec la chute du mur de Berlin, la lutte des classes était finie et le capitalisme vainqueur ? En effet, si l'on définit des classes moyennes, il en existe donc au-dessous et d'autres plus gratinées.

 

En vérité, le concept de classes moyennes n'est pas nouveau. Lors des crises aiguës du capitalisme, on fait admettre à une frange qu'elle détient un statut particulier, des comportements sociaux et des habitudes de consommation radicalement opposées au reste de la société et surtout par rapport à ceux catalogués plus bas. En son temps, Valéry Giscard d'Estaing disait que la classe moyenne (au singulier) incarnait "le bel équilibre d'un confort intermédiaire, modeste et harmonieux". Depuis, fort sans doute de cette citation et ayant écrit un seul bouquin, il a été élu à l'Académie française.

 

Plus près de notre époque, le futur big boss de la droite française, Laurent Wauquiez, a écrit un bouquin: La lutte des classes moyennes. Pas moins, qu'on n'est pas obligé de lire. Le porte-voix fidèle de la droite et du patronat en France, Le Figaro, y va de tout un article : "Pour les classes moyennes, le pouvoir d'achat ne progresse pas". Sans parler des journaleux de service avec leurs stylos, derrière leurs micros ou devant les caméras qui larmoient sur les "pauvres classes moyennes".

 

Et à combien est fixé quelqu'un des classes moyennes ? Au pluriel Roger, car là aussi on différencie les petits, les moyens et les grands: entre 1300 et 2 500 euros par adulte. Façon de taxer implicitement la CGT d'utopiste lorsqu'elle revendique un SMIC à 1 800 euros.

 

Non, dans notre société, il n'existe que des salariés (sans emploi, à temps complet, à temps partiel ou précaires, ou contractuels dans les services publics) qui, pour vivre ou survivre, sont obligés de vendre leur force de travail (physique ou intellectuelle) à la classe antagoniste disposant elle de tous les pouvoirs, du capital et des moyens de production.

 

D'où l'importance de choisir franchement son camp entre les exploiteurs et les exploités. Avec mon blog, vous aurez compris quel camp j'ai choisi.

 

Mais et vous, les amis qui me lisez ?

 

Je n'ai recopié que la définition du prolétariat par Karl Marx. Celui-ci est constitué de l'ensemble des salariés et des chômeurs. Le prolétariat est la classe sociale qui, pour avoir de quoi vivre, est obligée de vendre sa force de travail à la classe antagoniste, qui dispose du capital et des moyens matériels de production. D'où la lutte des classes pour l'émancipation des prolétaires.

 

Bon, je vais peut-être trop vite en besogne, si j'en crois le PCF qui cherche à regagner les classes populaires et Jean-Luc Mélenchon qui fait dans le gazeux sur la lutte des classes.

 

R.C.

 

 

SOURCE:

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
 
UNILEVER
 

Unilever continue de pencher pour une structure unique | Crédits photo : © Unilever

LONDRES, 28 novembre (Reuters) - Unilever et ses actionnaires tireraient bénéfice d'une structure d'entreprise unique, a déclaré mardi le géant des produits de grande consommation, ajoutant que rien n'avait encore été décidé.

Le groupe anglo-néerlandais, qui possède actuellement une structure juridique bicéphale avec une double cotation à Londres et Amsterdam, a dit qu'une seule classe d'actions lui permettrait "une plus grande souplesse stratégique pour accroître la valeur de son portefeuille de marques".

Après avoir rejeté une offre hostile de 143 milliards de dollars (120 milliards d'euros) de son concurrent américain Kraft Heinz, Unilever avait dit qu'il procéderait à un réexamen de sa structure juridique et qu'il prendrait une décision d'ici la fin de l'année.

La décision d'abandonner son siège social à Rotterdam ou celui de Londres est une question sensible, particulièrement au moment où la Grande-Bretagne s'apprête à quitter l'Union européenne.

Le fabricant des savons Dove et des soupes Knorr devrait en dire davantage lors de la journée investisseurs qu'il organise mercredi.

Réagissant mardi à des informations de presse annonçant le report de sa décision, Unilever a déclaré qu'il poursuivait son réexamen stratégique et que les conclusions seraient annoncées en temps voulu.

Si le groupe opte pour l'unification, il maintiendrait alors sa cotation aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis mais supprimerait les actions préférentielles de son entité néerlandaise qu'il a récemment rachetées, a-t-il dit.

Unilever a également confirmé ses objectifs d'une croissance organique de ses ventes de 3 à 5% en 2017, d'une amélioration de sa marge d'exploitation d'au moins 100 points de base et d'un "solide" flux de trésorerie. (Martine Geller; Catherine Mallebay-Vacqueur pour le service français, édité par Véronique Tison)

par investir

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Unilever : confirme ses perspectives, 'unification' à l'étude

En vue des journées investisseurs annuelles qui seront organisées les 29 et 30 novembre, Unilever donne ce matin les grandes lignes des annonces qui seront effectuées à cette occasion. Les prévisions à court et moyen terme sont notamment confirmées.

Le géant des produits de grande consommation a notamment confirmé son ambition de générer un croissance organique de ses ventes comprise entre 3 et 5% l'an d'ici 2020, conformément au plan baptisé 'Connected 4 Growth'. A cet horizon, la marge opérationnelle courante visée est toujours de 20%.

Cette perspective de croissance vaut toujours pour l'année 2017, au terme de laquelle la marge opérationnelle courante devrait progresser d'au moins 100 points de base, confirme encore Unilever.

Par ailleurs, le conseil d'administration continue de plancher sur l'éventuelle réforme de la structure 'bicéphale' du groupe anglo-néerlandais. Le processus 'avance bien', et le conseil estime qu'une unification des titres en une seule classe d'actions 'serait dans le meilleur intérêt d'Unilever et de ses actionnaires'.

Il est envisagé de maintenir la cotation en Bourse d'Unilever aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, mais de mettre fin à l'action de préférence de droit néerlandais.

 

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
 
UNILEVER ACQUIERT LES PRODUITS DE SOINS SUNDIAL

(Corrige le §3 pour indiquer que Sundial est basée à New York et non dans le New Jersey)

Unilever a annoncé lundi l'acquisition de Sundial Brands, un fabricant américain de crèmes et de lotions pour le corps et les cheveux, poursuivant ainsi son développement sur le marché en forte croissance des produits de soin.

Le géant anglo-néerlandais des produits de grande consommation, propriétaire du savon Dove et du déodorant Axe, n'a pas révélé le montant de la transaction.

Sundial, société créée il y a 26 ans à New York, possède les marques ethniques SheaMoisture, Nubian Heritage et Madam C.J. Walker. Son chiffre d'affaires devrait approcher les 240 millions de dollars (202 millions d'euros) cette année.

Sundial deviendra une filiale à part entière d'Unilever et conservera son fondateur et dirigeant Richelieu Dennis, originaire du Liberia.

Unilever, qui a rejeté cette année une offre non sollicitée de 143 milliards de dollars de Kraft-Heinz, a multiplié les acquisitions ces derniers mois, rachetant les thés Pukka Herbs et Tazo, les cosmétiques Carver Korea et la marque brésilienne d'aliments biologiques Mae Terra.

COR-USA: Unilever acquiert les produits de soins Sundial

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Syndique toi à la CGT
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Une norme OIT et cinq propositions contre les violences et le harcèlement au travail

« En Europe, 40 à 50 % des femmes déclarent avoir été l’objet de sexisme et de harcèlement sur le lieu du travail », expliquait hier Sharan Burrow, secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale lors de la conférence organisée par la CGT en marge de la journée d’étude sur les violences sexistes et sexuelles rassemblant 200 militant·e·s.

La Confédération syndicale internationale (dont est membre la CGT) a gagné l’inscription à l’ordre du jour de l’Organisation internationale du travail en juin 2018 d’une norme contre les violences et le harcèlement au travail.

Le gouvernement français a pour l’instant pris une position a minima, en refusant de reconnaître les violences spécifiques auxquelles les femmes sont confrontées. L’ensemble des syndicats français affiliés à la CSI (CGT, CFDT, CFTC, FO) ont interpellé le Premier ministre.

Pour la CGT, il s’agit d’intégrer les violences au travail dans la loi annoncée contre les violences sexistes et sexuelles annoncée par Marlène Schiappa, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.

En présence notamment de Bernard Thibault (représentant des salarié·e·s français·e·s au conseil d’administration de l’OIT), Sharan Burrow (secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale) et Ernestine Ronai (présidente de l’observatoire des violences envers les femmes de Seine-Saint-Denis), la CGT a présenté ses propositions pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles au travail.

5 mesures doivent être intégrées dans la loi :

> la mise en œuvre de sanctions pour les entreprises qui ne respectent pas leurs obligations de prévention et la création d’une obligation de négocier sur les violences sexistes et sexuelles ;
>le maintien des CHSCT et la mise en place de référent·e·s violences, indépendant·e·s de l’employeur, désigné·e·s par les institutions représentatives du personnel, chargé·e·s d’accompagner les victimes, de diligenter des enquêtes ou des expertises et de suivre la mise en œuvre des mesures de prévention ;
> la mise en place d’une heure de sensibilisation obligatoire de tous les salarié·e·s, d’une formation de tou·te·s les manageur·euse·s, RH et professionnel·le·s en contact avec les victimes, le doublement des subventions aux associations et du nombre d’hébergements d’urgence ;
> la protection des victimes contre le licenciement et les sanctions, la prise en charge de l’ensemble des frais de justice par l’employeur et la reconnaissance automatique de leur situation en accident du travail/maladie professionnelle, la création d’un statut de la victime dans les procédures disciplinaires ;
> l’extension des prérogatives et moyens des inspecteur·trice·s et des médecins du travail.

En février, une grande action syndicale est prévue en Europe pour dire « ASSEZ, BASTA, etc » aux violences sexistes et sexuelles et au harcèlement au travail. En mars aura lieu également la Journée internationale du droit des femmes.

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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