SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Unilever continue d’augmenter ses volumes, mais pas en Europe
Unilever

En Europe, Unilever ne progresse que grâce à des augmentations de prix, mais ailleurs, la multinationale enregistre une nouvelle hausse des volumes. La croissance est tirée par les 30 grandes marques qui représentent 75 % des ventes.

L’Europe à la traîne

Au premier trimestre de cette année, les ventes d’Unilever ont augmenté de 4,4 % pour atteindre 15 milliards d’euros. Les volumes vendus ont augmenté de 2,2 %. Cette croissance des volumes pour le deuxième trimestre consécutif est une bonne nouvelle pour l’entreprise qui, ces dernières années, a principalement augmenté ses ventes grâce à de fortes hausses de prix. En Europe, cependant, les volumes continuent de baisser, principalement en raison des mauvaises performances de la division alimentaire en Allemagne et aux Pays-Bas.

Les trente « Power Brands » ou marques puissantes sur lesquelles le PDG Hein Schumacher souhaite se concentrer davantage, ont enregistré une croissance du chiffre d’affaires de 6,1 %, tandis que les volumes ont augmenté de 3,8 %. Comme on le sait, la multinationale va céder sa division « crèmes glacées », avec des marques bien connues telles que Magnum et Ben & Jerry’s. Elle revoit également à la baisse certains de ses objectifs en matière de développement durable.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Les grévistes ont levé leur mouvement jeudi 25 avril 2024, à 13 heures.

La grève aura duré 24 heures.

La grève aura duré 24 heures.

Dans la soirée de mercredi 24 avril, les grévistes du site de Colgate-Palmolive à Compiègne avaient décidé de poursuivre le mouvement qu’ils avaient déclenché dans l’après-midi. Ils y ont mis fin à 13 heures ce jeudi 25 avril.

Cette grève, lancée par une intersyndicale FO-CFDT, avait pour but de mettre en avant la solidarité des Compiégnois avec leurs collègues de Rillieux-la-Pape (Rhône), dont l’usine doit fermer dans le courant du mois de septembre 2024. Elle avait aussi pour but d’encourager la reprise des négociations. « Les discussions ont repris », observe Hervé Grosjean (FO). Les représentants syndicaux de l’usine restent cependant vigilants.

Le site de Rillieux-la-Pape emploie une centaine de salariés et fabrique des berlingots d’eau de javel Lacroix et d’assouplissant pour le linge Soupline.

Publié par courrier picard

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
POUR UNE RÉVOLTE OLYMPIQUE !

Publié par Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Poursuivre sur la lancée : Unilever annonce une croissance de ses ventes au premier trimestre

La société multinationale de biens de consommation Unilever (LON:ULVR) (NYSE : UL) a publié ses derniers résultats financiers avant l’ouverture des marchés aujourd’hui, le 25 avril.

La société a connu une croissance sous-jacente de ses ventes de 4,4 %, les cinq secteurs d’activité ayant enregistré une croissance sous-jacente de leurs ventes, menée par la beauté et le bien-être (en hausse de 3,1 %) et la crème glacée (en hausse de 2,7 %).

La marge opérationnelle pour le trimestre n’a pas été annoncée, mais la société s’est dite “confiante de parvenir à une légère amélioration de la marge opérationnelle sous-jacente pour l’ensemble de l’année, reflétant une marge brute plus élevée et un investissement accru dans nos marques”.

Le chiffre d’affaires augmente de 1,4% à 15,0 milliards d’euros avec (2,0)% d’effet de change et (0,9)% de cessions nettes.

 

L’essentiel

Cependant, la principale question d’Unilever, ainsi que de ses concurrents dans le secteur des biens de consommation de base, demeure : qu’en est-il des volumes de ventes ?

Au cours des derniers trimestres, l’entreprise a tenté d’équilibrer des volumes de ventes en baisse avec des prix plus élevés – un cycle potentiellement négatif dans un environnement de forte inflation et aucun signe de baisse des taux d’intérêt pour l’instant.

Il est encourageant de constater que la croissance des volumes a atteint 2,2 %. En particulier, les principales marques de la société ont enregistré une croissance sous-jacente de leurs ventes supérieure de 6,1 %, tirée par une hausse de 3,8 % des volumes de ventes.

Unilever avait plusieurs points à prouver avec ses résultats d’aujourd’hui – notamment s’il parvenait à maintenir la dynamique de redressement illustrée par ses résultats du quatrième trimestre, avec son « plan d’action pour la croissance » qui prend de l’ampleur.

Le 8 février, Unilever a annoncé des résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2023 plus solides que prévu, grâce à la croissance des ventes dans l’ensemble de sa division et à un programme de rachat d’actions de 1,5 milliard d’euros qui a séduit les actionnaires et qui commence à être mis en œuvre. En conséquence, le cours de l’action Unilever a augmenté de 3 % sur la journée.

Pourtant, 2023 a été marquée par son lot de problèmes pour l’entreprise, notamment une concurrence accrue, la montée en flèche des prix des matières premières dans une macro-économie déchirée par la guerre et le fait de devenir une cible pour les investisseurs opposés aux questions ESG. C’est peut-être pour cette raison que le chiffre d’affaires de l’entreprise pour le trimestre se terminant le 31 décembre 2023 s’est élevé à 14,59 milliards d’euros, soit une baisse de près de 5 % sur un an et la pire performance de l’entreprise depuis 2020 et la pandémie. Le BPA a également baissé de 1,4 %, bien que les ventes du quatrième trimestre aient augmenté de 1,8 % par rapport au troisième trimestre.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Luttesinvisibles

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Victoire ! L’inspection du travail refuse le licenciement d’Alexandre, délégué syndical à la Fnac

Licencié sous des prétextes fallacieux fin 2023, Alexandre, délégué syndical FO à la FNAC Champs-Elysées, vient de voir son licenciement refusé par l’inspection du travail. Une victoire précieuse dans un contexte général de répression.

Répression syndicale

Crédits photo : Maksym Kozlenko

Début décembre 2023, Alexandre et un de ses collègues ont été convoqués pour un entretien disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement. Après 3 mois d’attente, le verdict de l’inspection du travail est enfin tombé, en faveur d’Alexandre dont le licenciement a été refusé explicitement.

En effet, Alexandre et son collègue avaient été licenciés pour avoir voulu, après la fin d’une promotion, récupérer un carnet de note offert pour l’achat d’un article à la Fnac. Comme l’indiquent une quarantaine de témoignages de ses collègues, c’est une pratique largement répandue et autorisée pour les employés, qui permet de déstocker ces cadeaux ne pouvant être revendus.

Seulement, alors que Alexandre et sont collègue avaient laissé les cadeaux lorsqu’on leur a interdit de les prendre, ils ont finalement licencié par la direction. Alors que le CSE avait refusé les licenciements, Alexandre étant syndicaliste, c’est l’inspection du travail qui a dû trancher l’affaire. Finalement, son licenciement a été refusé, avec la démonstration qu’il ne s’agissait en aucun cas d’une tentative de vol.

Comme l’explique Alexandre, la direction de la FNAC cherche en réalité à intimider ceux qui relèvent la tête : « C’est loin d’être le premier épisode, ces dernières années, on a réussi à les faire condamner trois fois pour discrimination et harcèlement syndical sur des militants de FO ». En effet, derrière ce prétexte bidon, la direction du magasin a voulu licencier un délégué syndical combatif, qui avait notamment été un moteur de la grève historique à la FNAC Champs-Elysées en 2016.

Cette décision est un appui important afin de pouvoir obtenir la réintégration de son collègue qui, n’étant pas un élu syndical, a été licencié. Pour autant, Alexandre a conscience de ne pas être un cas isolé : « C’est la continuité de ce qui s’est passé ces dernières années. Après avoir mis en place la régression sociale, c’est la seconde partie du projet. Ils savent que c’est le moment d’attaquer ceux qui vont au combat ». Alors que les cas de répression syndicales se multiplient à travers le pays, la réintégration d’Alexandre est une victoire précieuse sur laquelle il faut s’appuyer pour construire une riposte d’ensemble qui mette un coup d’arrêt aux offensives du patronat.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Signe de l'aiguisement des luttes et des enjeux et de la tentation " nécessaire " pour le capital d'enfreindre les usages démocratiques 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
et Commun Commune
 

 

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Depuis quelques jours la direction ddu fabricant de pneus fanfaronne en annonçant la mise en place d'un "salaire décent". Qu'en est-il réellement ?
Débunkage par Thomas Vacheron du bureau confédéral.

Publié par CGT COMPIEGNE FACEBOOK

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Nouvelle preuve de la dérive anti-démocratique dans notre pays et d'un néo  comme on peut le constater à propos des attaques à l'expression de la solidarité avec le peuple palestinien !

Démocratie sociale, démocratie politique et liberté d'expression et de revendication étroitement mêlées !

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MANOSQUE: LES SALARIÉS DE LA POSTE DÉNONCENT UN "ACHARNEMENT" CONTRE UN MILITANT CGT

Laurie Charrié
Un rassemblement devant le centre de courrier de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) pour dénoncer un "acharnement sur des militants CGT".

Un rassemblement devant le centre de courrier de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) pour dénoncer un "acharnement sur des militants CGT". - BFM DICI

Environ 80 personnes se sont rassemblées devant le centre de courrier de Manosque pour dénoncer ce qu'il estime être un "acharnement" sur un militant CGT et employé de La Poste.
 

Une "criminalisation" de l’action syndicale et un "acharnement" sur des militants CGT. C'est ce qu'ont dénoncé environ 80 personnes du département mais aussi de toute la région Provence-Alpes-Côte d'Azur devant le centre de courrier de Manosque ce vendredi 19 avril. Il s'insurge d'une "cabale" contre un militant de la CGT.

À l'origine de ce rassemblement, une altercation entre Philippe Jourdan, membre de la CGT et employé de La Poste, et le mari d'une des encadrantes de la société.

Un différend qui se serait envenimé jusqu'à entraîner une mobilisation syndicale. "Lorsqu'on s'attaque à l'un des membres de la CGT, on s'en prend à nous tous", lance Mélanie Allard, secrétaire général CGT Alpes-de-Haute-Provence.

"Un message fort qu'on veut faire passer"

Pour les syndicats, le postier est victime d'un acharnement. "L'entreprise a fait le choix de lui refuser la protection fonctionnelle en tant que fonctionnaire", explique la syndicaliste. "Il le déclare gréviste alors qu'il ne l'a pas dit et on le décrédibilise."

"On défend Philippe, mais ce n'est pas un culte à la personne", précise Michael Gamba, membre de la CGT et facteur à Saint-André-les-Alpes. "C'est vraiment un message fort qu'on veut faire passer aux entreprises."

l faut vraiment apporter une réponse forte à toutes les entreprises qui voudraient nous éteindre syndicalement", ajoute-t-il. 

Mélanie Allard assure que la CGT joue son rôle de défense des salariés. "Les syndicats sont là pour se mettre en travers de leur chemin surtout quand ça touche aux conditions de travail, mais aujourd'hui on est là pour montrer que quand on s'attaque à un militant CGT on s'attaque à tout le syndicat et tous les salariés par ricochets."

Les syndicats réclament le retrait du protocole de harcèlement, "qui n'a pas lieu d'être". "On est des militants, pas des voyous." La CGT n'a, pour le moment, pas prévu d'autres journées de mobilisation mais les syndicats n'excluent pas de se remobiliser en fonction de l'évolution de la situation.

Laurie Charrié
BFM

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Publié par EL DIABLO

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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